Ils veulent tuer cette femme…

…Mais qui donc ? Ségolène Royal.

Moi, Ségolène Royal n’est pas ma tasse de thé. Si, si mais, ici sur WordPress elle a un fan[fr], allez faire un tour chez lui. En revanche, je suis assez surpris par ses adversaires. Ils tirent de plus en plus en dessous de la ceinture ce qui rend finalement cette femme sympathique. Enfin , pour moi.

On peut comprendre un Nicolas Sarkozy qui a peur d’elle d’envoyer des guerriers tenter de la flinguer. Mais, le problème réside dans les méthodes plus ou moins cavalières qu’ils emploient avec un tel ridicule que ça devient finalement pathétique. Apparemment donc, pour exister, il faut la railler.

C’est le nouveau rôle ingrat que se donne aujourd’hui François Bayrou de plus en plus isolé dans sa tentative d’exister. A tout prix. Du coup, il passe de sa supposé assurance, à un manque criard de calme. Il traite Ségolène Royal de tous les noms d’oiseaux si l’on en croit la presse.

J’apprends à cet effet qu’il a donné une interview au Parisien ce matin. Vous savez, je suis à Strasbourg moi, et, je ne suis pas passé par un kiosque mais, ce que je lis  sur Internet m’étonne. Ainsi, François Bayrou estime que Ségolène Royal c’est un peu  l’anti rassemblement mais la reine du débauchage. Il va même plus loin en la traitant de Besson, puisque des membres du Modem ont rallier sa candidature aux Régionales.

Quand cette dame, pour battre le parti extrémiste qui gouverne la France depuis des années -j’ai oublié son nom-, sollicitait le rassemblement, personne ne venait. Aujourd’hui, avec ces ralliements, on ose l’accuser de débauchage ? Mais là, franchement, c’est l’hôpital qui se moque de la charité.

PARALLAX

SEGOLENE ROYAL EST VIVANTE !

AFP/PASCAL GUYOT                

Non, les déboires ne l’arrêtent pas. Son site ? Bof, elle n’est pas technicienne. Elle a déclaré aujourd’hui à Montpellier lors de la « Fête de la fraternité », en direction de ses 3000 groupies en s’adressant à ses détracteurs : « Le microcosme parisien n’aime pas ma liberté de ton. Je refuse de m ‘assujetir à leurs codes et à leurs compromissions ». « Comme si quelques notables de la politique, en attente de jours meilleurs et allant faire leur marché ailleurs, comptaient davantage que vous tous »

 

Hum !

 

UNE CONTRIBUTION GOUPILLEE PAR UN FAN DE PREMIERE /  Allain Jules

Parti socialiste, le siège de la tricherie en France ?

Décidément, sans vouloir jouer à la vedette, Ségolène Royal est visiblement, la vedette politique de la France. Il n’y a pas de doute possible, l’information, les tendances, les joutes verbales, le lynchage inconsidéré, la folie, le machisme, c’est toujours contre elle que tout est dirigé. Constat et non support. C’est vrai qu’il y a encore des bougres pour s’étonner des turpitudes et des pitreries de la mafia socialiste et médiatiques qui semble s’acharner sur Ségoléne Royal.
Ambiance.

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SARKOZY, JE VOUS DEMANDE DE VOUS ARRÊTER !

Nicolas, arrêtez-vous à la fin !

Enfin, c’est pas un conseil, il est obligé de s’arrêter. Trop d’efforts pour rien.

QUI CONNAÎT WILLIAM MODOLO ?

 

Cet homme ou ce gamin sur la photo, c’est William Modolo, il a eu à souffrir de torture avant son assassinat mais, personne n’en parle. Pourquoi ?

Extrait d’un article de France Soir:

William ? Un garçon comme les autres, qui voulait qu’on l’aime, qu’on s’intéresse à lui, qui se cherchait », explique Me Monique Touitou. Depuis des mois, cette avocate marseillaise conseille, et épaule, la famille de William Modolo, retrouvé mort en mai 2006 à Saint-Cannat, près d’Aix-en-Provence. Torturé pendant plusieurs jours, puis lapidé, dans la paisible campagne provençale.

Humainement, ce n’était vraiment pas facile… » confie Me Touitou. A 20 ans, William faisait des petits boulots, était plutôt du genre solitaire, sans doute complexé, voire handicapé, par ses 150 kg, et toujours à la recherche d’amis. Un soir de mai 2006, il a lancé un « je reviens », qui demeure gravé dans la mémoire de ses parents, Roselyne et Joseph. Sa famille ne le reverra jamais. William a été soumis à d’effroyables tortures, révélées par des expertises médicales insoutenables. « On l’a violé, on l’a battu, on lui a même perforé un poumon, on l’a tapé avec l’auvent d’une caravane… raconte l’avocate. Et puis on lui a arraché une quinzaine de dents, on l’a piqué avec des piques brûlantes. Avant de le conduire, à moitié mort, à Saint-Cannat, où il a été lapidé ». Un calvaire indicible. « Un avocat essaie souvent de se mettre à la place des autres, de s’imaginer ce qu’ont subi les victimes. Là, je n’y arrive pas, tellement c’est insupportable », poursuit Me Touitou.

Nous y reviendrons !

Allain Jules