À propos

Mon nom est Parallax. Je suis strasbourgeois d’adoption. Médecin dans un hôpital de la place. Je blogue depuis bientôt 1 an, juste pour m’amuser. Ce site était d’abord hébergé sur la plateforme de 2O minutes.fr. Suite à des problèmes liés à la diffusion d’une rumeur relatant la grossesse de Carla Bruni-Sarkozy, j’ai été simplement radié alors qu’il y avait des journées où j’atteignais les 20 000 visiteurs uniques.

Or, il ne s’agissait d’une rumeur d’ Allain Jules, écrite au conditionnel.  Je suis bien ici et,  de savoir que sur WordPress, après deux mois d’existence, ce site fait partir du top 10 chaque jour est très gratifiant.

Merci pour votre confiance, surtout ceux qui m’ont suivi ici !

M’écrire: parallax.j@gmail.com

PARALLAX.

 

21 Réponses

  1. Attention tout de même au rumeur. On va vu ce que ca a donné avec l’affaire Olivier Martinez et Eric Dupin. http://www.lefigaro.fr/hightech/2008/03/20/01007-20080320ARTFIG00607-olivier-martinez-dans-le-collimateur-des-bloggeurs.php

  2. je viens de vous lire et je vous inscrit dans mes favoris, j’aime votre franchise et j encourage tous les esprits libres.
    Cordialement une Alsacienne vivant dans la ville roseeeeeeee

  3. Il va falloir que pique votre liste de tags pour qu’on visite le mien (de blog). A part Hillary Clinton, et Obama, les US, que nous pourrions avoir en commun, mes tags n’attirent pas grand monde. Les Indiens d’Amérique, même s’ils ont fait l’objet du plus grand génocide qui n’a jamais été reconnu comme tel, quart monde discret et parqué de l’Amérique, qui se meurt d’alcoolisme et parfois de froid, tout le monde s’en tape… Normal, ils ne sont pas médiatiques. En dehors de l’engouement pour le chamanise (si! si ! j’ai essayé dans ces tags)qui conduit à la description sur France Inter des initiations breuvagées, par des fils de bourgeois qui sont allés chercher la quintessence dans la future amazonie déforestée, le témoignage d’allumés chamans qui chamanisent en ville, je ne vois guère d’aboutissement…
    Je vais donc peut-être m’orienter vers des tags plus évocateurs comme sexeu bitte joye stiques et autres grivèleries… (non je ne sous-entendais pas grivoiseries)
    Suzanne Holland, responsable édition, et de ce fait… des visites sur mes blogs

  4. Je vais visiter votre blog et le mettre en lien ici….s’il me plaît.

    Merci d’être passé !

  5. je n’ai pas l’habitude de prendre part a de futile dicussion sur des blogs mais c’est par hasard que je suis sur celui-ci et je dois mettre un commentaire mene si personne ne le prends en compte vous qui devez etre intelligent vous la traiter de negresse c’est vrai ces une negresse j’espere que vous n’este pas raciste a votre niveau elle n’a pas de couille j’espere pour elle mais il faut reconnaitre que sa place n’est pas facile elle n’est pas la patronne et au lieu de la denigrer plutot l’encourager positiver a moins que votre demarche c’est de voir ou de promouvoir que la negativite des choses le chaos plutot que la richesse ne serai ce que mental a bientot

  6. @Anna,

    Mille fois merci !

  7. Je ne sais pas si le titre de ton blog fait référence à notre terre natale.

  8. Akiba,

    Akiba abui pour le lynchage !

    C’est un texte que j’ai fait en étant très enragé ce jour-là.
    Je ne l’avais pas relu. Mais bon, il faut toujours qu’un kamer cherche à insuter un autre pour se sentir bien.

  9. je wanda sur toi coco, si ça t’énerves, tu sautes et tu calles en l’air ! 🙂

  10. Extrait du livre de Raczinski A. « Le Bal des Cadavres » 2001

    La pérégrination n’était pas terminée, il me fallait encore traverser des marécages nauséabonds, et il fallait une sacrée dose d’abnégation pour supporter ces milieux nantis, où le mensonge, l’hypocrisie, la fourberie, la méchanceté étaient les règles d’or. Chacun s’affrontait sous des dehors particulièrement affables et distingués. Les bonnes manières cachaient les plus vils sentiments de cette classe, qui n’en avait, que les apparences. Les coups de poignards se donnaient dans le dos, tandis que les sourires étaient des poisons foudroyants. Aucune compromission possible, à la moindre faiblesse on exécutait froidement. Les bons sentiments ne vibraient pas chez ces gens là, et ils donnaient à leurs déterminations un ascendant de domination où les autres étaient les esclaves et eux les maîtres. Seule la fumée d’encens pouvait asphyxier provisoirement l’instinct destructeur de ces êtres malfaisants. Derrière cet écran de fumée éphémère une chance nous était donnée de fuir avant d’être tué. La basse-cour de cette grande famille se composait de lèche pied, de lèche-cul, de cireur de pompes, d’obséquieux, de crétins, de salopes, de nymphomanes, de flatteurs aux têtes creuses, tous avaient un point commun : les dents longues et l’haleine putride ; des gens propres au dehors mais rances à l’intérieur. Toutes ces odeurs pestilentielles se mélangeaient aux parfums coûteux et aux poudres à retaper les faces silicosées, rongées par la vérole de l’ambition. Tous les coups étaient permis. Les plus bas étaient ceux qui obtenaient le plus de louanges, et dans ce jeu de massacre, ce beau monde se jetait à la figure le caviar, les petits fours et les canapés. Le roi postillon était toujours de la fête et la bave écumait des bouches à dégoûter les mouches. Un vent fétide s’échappait silencieusement de tous ces bas-fonds et saturait l’atmosphère viciée. Les paillettes et les confettis retombaient sur les convives, se collaient aux cheveux laqués, aux perruques d’astrakon, aux barbes blanches, aux cosmétiques, aux ongles manucurés, aux faux culs, aux vrais perles, aux faux diamants, aux colliers de jades et de saphirs. Il y avait même un fakir le cul nu posé sur une planche de clous rouillés. Les costards étaient taillés sur mesure et les pompes cirées aveuglaient de leurs reflets tous ces cerveaux gangrenés par l’envie d’en avoir toujours plus. Soif insatiable des avares, qui de leurs doigts crochus, s’accrochaient désespérément aux basques des premières classes, dans le secret espoir d’être sur la liste sélective de ces quelques privilégiés, que l’on introduisait dans le cercle restreint de ces demi-dieux de la finance. Ces nababs du pétrole, de l’armement, tous ces céréaliers, ces industriels de la pharmacologie, ces saigneurs de l’horreur, tous ces vendeurs de soupe, ces gros colons de l’économie de macchabées, ces bouffons démesurément bouffis qui se gonflaient comme des boyaux prêts à exploser. Ils éclataient de rire à se pisser dessus en voyant l’adulation dont les entouraient tous ces culs de jatte, ces manchots, ces bossus, ces atrophiés de la rate, ces hommes sans tête et ces femmes à la cervelle cuite au micro-onde. Tous ces monstres de foire étaient là à se courber, à s’échiner, à ramper, à lécher, à saliver, à aboyer, à japper pour qu’on les mette à la chaîne….

    si vous voulez lire la suite, joindre : yopladi.

  11. j’aime beaucoup le ton employé…

  12. jaime ton blog et les critiques qui y sont employés.
    en effet je le lis chaque fois que je surfe et mon souhait est plus tard d’ avoir un blog d’informations, actualités bref tout ce qui concerne le CAMEROUN sur le web.
    je te souhaites une bonne continuation!

  13. WordPress une valeur sûr, crois-moi !! plus de 3 ans que ja blog sous WordPress, j’ en ai installé des dizaines ( espaces persos, plus « customizable » ) et tout le monde est satisfait !
    Bravo pour ce blog qui me plaît beaucoup et que j’ ai linké sur le mien !

  14. Bonjour, pourriez-vous me dire comment vous avez fais pour mettre dans votre interface blog la partie « In Live » qu’on voit sur le côté ! Cela m’intéresserais de mettre le compteur de personne en ligne, ou d’autres trucs dans le genre. Est-ce que c’est un widget ? Si oui lequel ? Merci de votre aide.

    • Bonjour Sandra.

      Il suffit de cliquer sur le compteur. Ensuite, vous verrez ceci: Vous avez un site ou un blog ? Vous souhaitez une page de stats comme celle-ci tout de suite? Obtenez-la!

      Ciquez sur « Obtenez-là » puis, vous verrez commencer. Copiez le code « Non Javascript » au lieu de « Preferred code » car, le dernier ne fonctionne pas sur WordPress.

      Et pour terminer, allez sur widget dans votre Tableau de bord puis collez-le. C’est tout.

      Bonne chance !

  15. Ça fait plaisir de lire un autre strasbourgeois d’adoption !

  16. Bonjour,

    Je réagis suite à la lecture de votre article dénommé « Bertrand Cantat tue encore une femme ».

    Tout comme Brahim qui a aussi laissé un commentaire, je suis très choqué par ses propos. Ce sujet est beaucoup trop grave pour se permettre de faire les allusions et hypothèses que vous faites.

    J’espère que vous ne vivrez jamais ce que Bertrand Cantat vient de vivre.

    Hervé

  17. La pérégrination n’était pas terminée, il me fallait encore traverser des marécages nauséabonds, et il fallait une sacrée dose d’abnégation pour supporter ces milieux nantis, où le mensonge, l’hypocrisie, la fourberie, la méchanceté étaient les règles d’or. Chacun s’affrontait sous des dehors particulièrement affables et distingués. Les bonnes manières cachaient les plus vils sentiments de cette classe, qui n’en avait, que les apparences. Les coups de poignards se donnaient dans le dos, tandis que les sourires étaient des poisons foudroyants. Aucune compromission possible, à la moindre faiblesse on exécutait froidement. Les bons sentiments ne vibraient pas chez ces gens là, et ils donnaient à leurs déterminations un ascendant de domination où les autres étaient les esclaves et eux les maîtres. Seule la fumée d’encens pouvait asphyxier provisoirement l’instinct destructeur de ces êtres malfaisants. Derrière cet écran de fumée éphémère une chance nous était donnée de fuir avant d’être tué. La basse-cour de cette grande famille se composait de lèche pied, de lèche-cul, de cireur de pompes, d’obséquieux, de crétins, de salopes, de nymphomanes, de flatteurs aux têtes creuses, tous avaient un point commun : les dents longues et l’haleine putride ; des gens propres au dehors mais rances à l’intérieur. Toutes ces odeurs pestilentielles se mélangeaient aux parfums coûteux et aux poudres à retaper les faces silicosées, rongées par la vérole de l’ambition. Tous les coups étaient permis. Les plus bas étaient ceux qui obtenaient le plus de louanges, et dans ce jeu de massacre, ce beau monde se jetait à la figure le caviar, les petits fours et les canapés. Le roi postillon était toujours de la fête et la bave écumait des bouches à dégoûter les mouches. Un vent fétide s’échappait silencieusement de tous ces bas-fonds et saturait l’atmosphère viciée. Les paillettes et les confettis retombaient sur les convives, se collaient aux cheveux laqués, aux perruques d’astrakon, aux barbes blanches, aux cosmétiques, aux ongles manucurés, aux faux culs, aux vrais perles, aux faux diamants, aux colliers de jades et de saphirs. Il y avait même un fakir le cul nu posé sur une planche de clous rouillés. Les costards étaient taillés sur mesure et les pompes cirées aveuglaient de leurs reflets tous ces cerveaux gangrenés par l’envie d’en avoir toujours plus. Soif insatiable des avares, qui de leurs doigts crochus, s’accrochaient désespérément aux basques des premières classes, dans le secret espoir d’être sur la liste sélective de ces quelques privilégiés, que l’on introduisait dans le cercle restreint de ces demi-dieux de la finance. Ces nababs du pétrole, de l’armement, tous ces céréaliers, ces industriels de la pharmacologie, ces saigneurs de l’horreur, tous ces vendeurs de soupe, ces gros colons de l’économie de macchabées, ces bouffons démesurément bouffis qui se gonflaient comme des boyaux prêts à exploser. Ils éclataient de rire à se pisser dessus en voyant l’adulation dont les entouraient tous ces culs de jatte, ces manchots, ces bossus, ces atrophiés de la rate, ces hommes sans tête et ces femmes à la cervelle cuite au micro-onde. Tous ces monstres de foire étaient là à se courber, à s’échiner, à ramper, à lécher, à saliver, à aboyer, à japper pour qu’on les mette à la chaîne….
    +1

  18. LOOOL so a muslim negro is blogging about france? I suppose thats how the future europe will look like, another africa, great.
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    I am not muslim.

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