#Affaire DSK: la théorie du complot (?) ou de l’humour… plutôt.

Dans la théorie du complot contre Dominique Strauss-Kahn à propos de l’affaire du Sofitel de New York, il y a des zones d’ombre, nous dit-on. Ah, je sais, le journaliste américain Jay Edward Epstein, redevenu très crédible avec l’affaire DSK, voit, en France, son heure de gloire, après qu’il fut brocardé par la même presse sur sa théorie du complot sur les attentats du 9/11. Il aime bien New York on dirait.

Or, Jay Edward Epstein lui-même, ne s’appuie que sur une hypothèse: celle du téléphone portable Blackberry perdu par DSK. C’est quand même léger. Sincèrement, s’il y a piège, c’est que DSK est con. On ne vous piège pas avec une soubrette. Au contraire, quand on sait que vous êtes porté par le sexe comme c’est le cas du quidam, on vous met aux basques une « bombe atomique », c’est à dire une sublimissime créature, sans vouloir faire insulte à Nafissatou Diallo qui est aussi une belle femme.

Et puis, Nicolas Sarkozy n’est pas assez futé pour essayer de piéger, ainsi surtout, un adversaire politique. Rassurez-vous, jamais je ne voterai pour lui, même comme dans ma ville de Strasbourg, il est majoritaire. Pour moi, ce journaliste devrais enquêter désormais sur le Carlton, pour infirmer ou affirmer l’histoire d’une sex-tape qui semble faire craindre le pire. Passons.

Les rêves fantasmagoriques de pro-DSK deviennent finalement comiques et ridicules. On va donc parler de complot dans le dossier Sofitel, en ignorant volontairement le déroulé de l’agression en elle-même, celle reconnue par l’hôpital du Bronx qui a examiné la soubrette. Pendant qu’on y est, l’affaire Banon était aussi un complot. Tristounet !

2 Réponses

  1. Trop fort !

    Et des nigauds croient ça ?

  2. S’il y a complot, c’est pire, puisqu’il n’a pas su l’éventer. Je suppose qu’au FMI les complots -les vrais : fausses ouvertures politiques, chausse-trappes économiques, etc- devaient être quotidiens.

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